1307
– 2007 : 700ème
ANNIVERSAIRE DE
L’ARRESTATION DES TEMPLIERS DANS
LE DUCHE DE BRETAGNE ET LE ROYAUME DE FRANCE Patrick
HUCHET A l’aube de ce vendredi 13 octobre 1307, se déroule un évènement considérable dans le duché de Bretagne et le royaume de France : l’arrestation coordonnée, planifiée, de la quasi-totalité des Templiers dans leurs commanderies… Un coup de filet « policier » d’une rare efficacité, dû au roi Philippe IV le Bel et son principal conseiller, Guillaume de Nogaret. A Paris, c’est ce dernier qui procède lui-même à la « capture » du maître du Temple, Jacques de Molay et des 138 frères présents… Dans le duché de Bretagne, la situation est identique : les Templiers des « maisons du Temple » de Carentoir (Morbihan), des Biais, Nantes et Clisson (Loire-Atlantique), la Guerche (Ille-et-Vilaine), La Nouée et Pont-Melvez (Côtes d’Armor) sont faits prisonniers. Qui aurait pu prédire que cet ordre du Temple, apparemment si puissant, allait être totalement mis à bas en quelques années, jusqu’à son abolition, en 1312, par la bulle « Vox in Excelso », promulguée par le pape Clément V. Elles tiennent également beaucoup à la personnalité du roi de France, Philippe IV Le Bel, monarque soucieux d’assurer sa pleine autorité en son royaume, roi « très chrétien », témoignant d’une grande piété, qui sera profondément choqué par les « sacrilèges » commis par les Templiers. Ces derniers seront également victimes de l’intense rivalité opposant le roi de France aux papes de Rome, fervents défenseurs de la théocratie. « Des
villages entiers apportent collectivement leur hommage et leur serment
de fidélité. Il en est ainsi pour La Clau en 1263 où Bernard del
Vivier suivi de vingt autres hommes de La Clau et deux de Gleyzenove
jurent d’être fidèles et loyaux envers le Temple et de défendre et
conserver les biens de la maison, avant d’accomplir le rite de
l’hommage… » «Quelques années plus tard, c’est le tour des habitants du village de Sainte-Eulalie où plus d’une soixantaine d’hommes sont rassemblés au son des cloches devant le précepteur, le frère Frédol, et renouvellent l’hommage à genoux et les mains jointes. Ils prêtent serment de fidélité en reconnaissant la seigneurie de la maison du Temple et son droit de justice haute et basse… ». Fort judicieusement, A. R. Carcenac met également en lumière les droits acquis par les Templiers de Sainte-Eulalie, de même que les « banalités » (taxes acquittées par les habitants), assurant en grande partie leur prospérité. « Les «
banalités » sont pour le seigneur un autre moyen d’opérer une
ponction sur les produits du travail des paysans. Il est souvent
question des fours et des moulins qui sont donnés ou vendus aux
Templiers. On peut mentionner en particulier le four de Montclarat qui
est donné avec le fournil et le bois pour l’alimenter, ainsi que le
rachat par le Temple d’un moulin qui avait été mis en gage par son
possesseur. Si les fours et les moulins sont aussi recherchés, c’est
qu’ils sont d’un bon rapport… Un document de 1317, montre que les
gens de Sainte-Eulalie étaient tenus de faire moudre leur grain aux
moulins appartenant à la maison de Sainte-Eulalie… On
ne saurait sous-estimer l’importance de la seigneurie banale… En
profitent surtout les seigneurs châtelains et parmi eux particulièrement
les Templiers qui accaparent la justice et sont en mesure, grâce à
leur force, d’imposer des prélèvements arbitraires. La
seigneurie banale est donc extrêmement lucrative, bien plus que la
seigneurie foncière ». Antoine-Régis
Carcenac « Les Templiers du Larzac » Ed. Lacour, 1994. Chaque « commanderie » possédait des bâtiments d’exploitation agricole, des écuries pour les montures si précieuses (à destination de la Terre Sainte), une église desservie par un frère chapelain. Il y a (trop) souvent confusion dans le grand publique, entre les commanderies et les « membres » de ces commanderies. En effet, chacune possédait un certain nombre de membres, c’est-à-dire, des biens fonciers et bâtiments de ferme, des maisons (à la campagne ou en ville), des rentes et droits féodaux (les si rentables « banalités » évoquées ci-dessus). Ainsi la commanderie de Carentoir possédait-elle une douzaine de « membres » se trouvant tous dans l’évêché de Vannes (excepté le « Temple » de la Coëffrie, dans l’évêché de Rennes). Les maisons du Temple du duché de Bretagne relevaient du « preceptorem domorum milicie Templi in Brittannia » (« précepteur des maisons du Temple en Bretagne »), dont on connaît quelques titulaires : Guillaume Ferron, en 1170, Pierre de Langan en 1245. L’ordre du Temple se structura fortement au fil des décennies, depuis sa fondation par le chevalier champenois, Hugues de Payns dans les années 1119-1120. A la fin du XIIIème siècle, le précepteur de Bretagne relève de la grande « préceptorie » d’Aquitaine, elle-même dépendant directement du Maître de l’ordre, Jacques de Molay. Depuis les premières donations effectuées par le duc de Bretagne, Conan III le Gros, dans les années 1128-1130, l’ordre du Temple a grandement prospéré, comme le souligne justement l’abbé Guillotin de Corson, dans son ouvrage de référence « Les Templiers et les Chevaliers de Malte en Bretagne » : « Les
Templiers possédaient des biens dans près d’une centaine de localités
bretonnes, notamment dans les villes de Rennes, Nantes, Lamballe, Vitré,
Châteaugiron, Hédé, Ancenis, et ils s’étendaient en même temps
dans les campagnes des neuf diocèses bretons. En
1217, le duc Pierre Mauclerc et Alix de Bretagne, sa femme, confirmèrent
aux Chevaliers du Temple toutes les donations faites par leurs prédécesseurs :
Conan III et Conan IV, Alain Le Noir comte de Penthièvre et Hoël comte
de Nantes, du duc Geoffroy II et la duchesse Constance. Ils y ajoutèrent
le don d’une terre en Messac, qui devint le Temple de la Coëffrie, et
certains droits dans les villes de châteaulin, châteauneuf, Lannion,
Morlaix, Jugon et Moncontour. La
même année Pierre Mauclerc manda à tous ses baillis et sénéchaux de
faire jouir en paix les Templiers des droits d’usage et de pacage qui
leur appartenaient en Bretagne et de réprimer toute atteinte portée à
ces droits. Cette
protection des ducs de Bretagne devenait d’ailleurs nécessaire aux
Chevaliers du Temple, car leur puissance et leurs richesses leur créaient
des ennemis ». A propos des si appréciables banalités : « Les
Templiers acceptèrent aussi des fours banaux : Alain de la Roche
leur abandonna en 1246 celui de Couëron ; dès 1163, ils prétendaient
avoir des droits sur le four de Montfort, et en 1182, il est fait
mention de leurs fours et de leurs moulins de Merlay, en Assérac, ainsi
que de ceux du Temple de Maupertuis ». Abbé Guillotin de Corson, « Les Templiers et les Chevaliers de Malte en Bretagne », Ed. La Découvrance, Rennes 1995. Combattants valeureux en Orient, les Templiers sont trop souvent regardés, en France et en Occident, comme des seigneurs avides et orgueilleux, vivant, qui plus est, dans un luxe ostentatoire : où sont la foi, l’humilité, l’austérité des débuts de l’Ordre ? Par ailleurs, des bruits circulent depuis longtemps sur leurs « mauvaises mœurs » : sodomie, idolâtrie, hérésie (on les soupçonne fortement de sympathie pour l’islam)… En 1265, le pape Clément IV leur rappelait d’ailleurs que, sans son soutien, l’Ordre ne résisterait point à « l’animosité publique qui se déchaînerait contre lui ». En 1274, les Templiers doivent même établir un mémoire justifiant leur existence, face aux pères du concile réunis à Lyon. Les rumeurs s’amplifient dans les premières années du XIVème siècle, alors que la vie quotidienne est de plus en plus difficile et les impôts, sans cesse plus lourds. Les guerres de Flandre ont engendré une crise financière, que Philippe Le Bel tente de résoudre, au moyen de dévaluations monétaires. Celle de 1306 provoque la révolte du peuple de Paris et pour échapper à sa vindicte, le roi de France doit se réfugier derrière les hauts murs… de l’enclos forteresse du Temple de Paris ! Les
Templiers, en conflits permanents, avec les autorités politiques ou
religieuses, au XIIIème siècle. Dans le duché de Bretagne : « l’affaire de Clisson » (1210-1213). Elle traduit parfaitement l’exaspération des seigneurs face à la puissance montante des Templiers. A deux pas de la forteresse édifiée patiemment par les sires de Clisson, fut fondée, au XII siècle, une commanderie, dont il nous reste l’église de la Madeleine, émouvant modèle d’architecture templière, en sa simplicité « cistercienne ». Il faut croire que son développement portait ombrage aux barons de Clisson, puisque, vers 1210, Guillaume de Clisson envahit le domaine du Temple et le ravage, s’emparant de quantité de richesses. Plus grave, il poursuit, les armes à la main, un homme vassal des Templiers et l’occit. dans le cimetière attenant à l’église, défiant ainsi le droit d’asile reconnu. L’affaire est grave et les frères du Temple réclament justice auprès d’Etienne de la Bruère, évêque de Nantes. Ce dernier rend sa sentence en 1213 : « Guillaume
de Clisson restitue au précepteur de la maison du Temple de Clisson
tout ce qu’il lui a injustement enlevé, et, pour le dédommager du
tort causé, il lui abandonne les impôts appelés « devoirs de
coutumes » qu’il levait jusqu’à ce jour en toutes les terres
d’aumônes appartenant aux Templiers dans l’étendue de sa
seigneurie… Le
même seigneur concède aux Templiers permission d’édifier maisons,
fours et moulins dans toutes les terres qu’ils possèdent en sa
baronnie… Enfin,
comme témoignage de la sincérité de ses sentiments, Guillaume de
Clisson s’oblige envers les chevaliers du Temple à leur verser la
somme de sept mille sols, s’il ne tient pas ses engagements… ». « Les
Templiers ne dédaignèrent point de s’occuper de commerce à Nantes :
ils construisirent près de leurs ponts ou sur leurs ponts mêmes, des
boutiques et magasins qu’ils louèrent ou firent valoir par leurs
hommes, et ils disputèrent à l’évêque de Nantes des droits sur la
vente des vins. En
1226, eut lieu une transaction entre Etienne, évêque de Nantes, et les
Frères de la Milice du Temple habitant cette ville : il fut
convenu entre eux que le commandeur de Sainte-Catherine pourrait vendre
en détail, chez lui, dix barriques de vin, mesure d’Angers, pendant
le ban de l’évêque et du Chapitre, époque à laquelle ces derniers
avaient seuls droit de vendre du vin à Nantes ; si le commandeur
en fendait davantage, sa cave serait saisie par les officiers des
regaires et il paierait 10 sols d’amende… ». Guillotin
de Corson, op. cité, page 172. A l’âge de seize ans, le 16 août 1284, il épouse Jeanne, reine de Navarre, héritière du comté de Champagne. L’année suivante, en 1285, il succède à son père et monte sur le trône de France, après son sacre à Reims par l’archevêque Pierre Barbet. Le jeune roi est hanté par le modèle de son aïeul, ce fameux Louis IX, qu’il cherchera constamment à égaler en piété, justice et affirmation du pouvoir monarchique. Las, ce règne débute sous le signe de problèmes financiers qui n’auront de cesse de tourmenter ce monarque, toujours « à court d’argent ». En 1289, l’expédition d’Aragon s’est conclue par la mort du roi de France, Philippe III, à Perpignan et la naissance d’une dette monstrueuse, comme le souligne l’éminent historien Jean Favier, auteur de la biographie de référence sur Philippe Le Bel : « Sombre
présage financier, c’est sous une dette que s’ouvre le règne :
la fâcheuse expédition d’Aragon a coûté plus d’un million de
livres tournois, peut être un million et demi. Le revenu du domaine
royal ne dépasse pas à cette date, 450 000 livres… Lourde
charge, donc, que celle-là, qui pèse sur les épaules du jeune roi
avant toute initiative personnelle, alors même que la politique
angevine en Italie continue d’obérer le Trésor français et que
l’horizon s’assombrit, en Guyenne comme en Flandre et sur les frontières
de l’Est. C’est
à un rythme bien inégal que s’effectue le remboursement de cette dépense,
en définitive stérile. Il constitue les deux tiers de la dépense du
Trésor au terme de la Chandeleur 1288… A la mort de Philippe Le Bel,
il reste encore des créanciers de Philippe III insatisfaits… ». Jean
Favier : « Un roi de marbre » Ed. Fayard, 2005. A la mort du duc Jean 1er (le 8 octobre 1286), lui succède son fils Jean II, fidèle lui aussi au roi, comme en témoignent les troupes bretonnes amenées en Flandre, en 1297, à la demande de Philippe le Bel, lorsque « l’ost » (l’armée) vint occuper les principales villes flamandes. Faut-il y voir une « récompense » (ou plutôt la mise en tutelle !), cette même année 1297, le duché de Bretagne devient une « pairie », donc un fief astreint à l’hommage « lige » (bien plus fort et contraignant que l’hommage « simple »). Arthur II, duc de Bretagne de 1305 (à la mort de Jean II) à 1312, respectera lui aussi les liens de féodalité le liant au roi de France, laissant donc celui-ci procéder à l’arrestation des Templiers le vendredi 13 octobre 1307. Stéphane Arthur et Michel Bonnet « Encyclopédie des papes » Ed. Patrick Banon. En 1296, en proie à des problèmes financiers considérables, Philippe Le Bel décrète la levée d’impôts, les « décimes royaux », sur l’église et les ordres religieux. Cette même année, par la bulle « Clerici Laicos », Boniface VIII excommunie ceux qui osent lever les impôts sur le clergé sans le consentement du Saint-Siège. L’an 1300, le Jubilé célébré à Rome remporte un immense succès (plus de 200 000 pèlerins), renforçant le pape dans ses prétentions à la suprématie universelle. En 1301, le conflit s’envenime quand le roi de France fait arrêter Bernard Saisset, évêque de Pamiers, envoyé par le pape pour traiter de plusieurs affaires. Le paroxysme est atteint en 1302, quand Boniface VIII promulgue la bulle « Unam Sanctam », proclamant la supériorité du pape sur tous les autres pouvoirs. Philippe Le Bel réagit avec l’aide de son conseiller, Guillaume de Nogaret, et suggère la réunion d’un concile, pour déposer le souverain pontife. Ce dernier réplique par la bulle « Per Processus Nostros », en date du 13 août 1303, excommuniant le roi et sa famille. « L’attentat » d’Anagni, le 7 septembre 1303 sonnera la fin de ce conflit. Retiré en sa ville natale d’Anagni, le vieux pape, malade, est « attaqué » par Guillaume de Nogaret et ses complices. Epuisé par toutes ces épreuves, il meurt le 11 octobre 1303. La papauté sort considérablement affaiblie à la suite de cette « guerre » perdue. Le 22 octobre 1303, Benoît XI lui succède. Soucieux d’apaiser les tensions, il accorde son pardon aux comploteurs d’Anagni… exception faite de Nogaret. Son pontificat sera de très courte durée puisqu’il meurt quelques mois plus tard, le 7 juillet 1304, après avoir mangé des figues empoisonnées, selon certains historiens… lesquels y voient, bien entendu, la main criminelle de Nogaret. Qui sera le prochain pape ? Le conclave réuni à Pérouse, en Italie, siègera onze mois, avant d’élire, le 5 juin 1305, Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux, grâce à l’influence décisive de Philippe Le Bel, « subventionnant » le cardinal Orsini, à l’initiative de ce choix judicieux pour… le roi de France. Un fait dûment établi s’impose : l’ordre du Temple a clairement choisi le camp du roi durant sa lutte contre le pape Boniface VIII. Comment aurait-il pu imaginer se voir terrassé par ce même monarque ? La tragédie va en fait se jouer entre trois personnages : Philippe Le Bel, roi de France, Jacques de Molay, maître du Temple et le pape Clément V. Jacques de Molay lui adresse un mémoire prônant le statu quo et met en avant de bien faibles arguments. Ainsi soutient-il que la générosité des fidèles sera moins grande s’il n’y a plus qu’un seul ordre ; que l’Hôpital et le Temple, ayant l’habitude d’occuper l’avant-garde et l’arrière-garde dans les batailles contre les Sarrasins, si l’on supprime le Temple, il manquera forcément l’une ou l’autre position ! Débarquant au grand port templier de Marseille, en novembre ou décembre 1306, Jacques de Molay ignorait tout de la machination montée contre l’ordre, par Guillaume de Nogaret, « l’âme damnée » du roi de France, à partir d’un dossier à charge, de plus en plus conséquent, au fur et à mesure des « révélations » de templiers rénégats. Philippe Le Bel est pressé de les faire juger. Le 21 avril 1307, a lieu à Poitiers, une entrevue entre le pape et le roi, au cours de laquelle ce dernier réitère auprès du souverain pontife les graves accusations portées contre les frères du Temple. Malade, Clément V temporise une fois encore. Jacques de Molay, désormais informé des « charges », préside le chapitre général qui se tient à Paris, le 24 juin, et intervient auprès du pape pour lui demander d’ouvrir une enquête. Grandeur et décadence, le lendemain, au petit matin, c’est le propre chancelier de Philippe Le Bel, Guillaume de Nogaret, qui, accompagné de ses gens d’armes, se présente aux portes de la maison templière de Paris, pour arrêter le Maître et les cent trente-huit frères présents. Proprement abasourdis par une telle audace, les Templiers se laissent enfermer, sans résister, dans les « basses fosses », la prison de la forteresse. Dans toutes les commanderies du royaume, se déroule une scène identique : baillis et sénéchaux, prudemment escortés, se présentent, munis de l’ordonnance royale, pour signifier leur arrestation aux commandeurs et frères du Temple. Sans doute en fut-il ainsi également dans les « domus templi » du duché de Bretagne, bien que les preuves écrites manquent cruellement à ce sujet. L’arrestation-surprise de ces Templiers qui paraissaient si puissants, pour tout dire « inattaquables » et la fin tragique de leurs dignitaires (le 11 mars 1314, Jacques de Molay est livré aux flammes du bûcher, près de Notre-Dame de Paris) ont initié mille et une légendes en terre de France… comme de Bretagne… mais ceci est une toute autre « histoire » !
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Bibliographie Abbé Guillotin de Corson « Les Templiers et les Chevaliers de Malte en Bretagne », Ed. La Découvrance 1995. Patrick Huchet « Les Templiers, une fabuleuse épopée », Ed. Ouest-France, 2007. Dumontier –
Villeroux – Bernage – Barreau « Sur les pas des Templiers en Bretagne, Normandie, Pays de Loire », Ed. Copernic, 1980. Alain Demurger « Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Age », Ed. Le Seuil, 2005. Malcom Barber « Le procès des Templiers », Presses Universitaires de Rennes, 2002. Antoine-Régis
Carcenac « Les Templiers du Larzac », Ed. Lacour, 1994. |